J'exècre les chats.
Je suis déjà pas tellement enthousiaste vis à vis de la domesticité animale en général... En dehors de ce qui se bouffe, se trait, se monte ou se tanne bien sûr, parce qu'élever des bœufs plutôt que d'aller se dégommer une vache à la carabine chaque fois qu'on a envie d'une bavette aux échalotes, c'était quand même assez bien pensé. Mais pour le reste je m'insurge. En particulier contre les chats qui sont une sale engeance et que je conchie véhémentement, qu'ils aillent tous rôtir en enfer 9 fois, ça les changera pas beaucoup après une vie passée à se mijoter le lard sur un radiateur.
Fallait quand même être salement tordu, une fois la peste plus ou moins éradiquée, pour continuer à entretenir ces cossards congénitaux. Le chat c'est l'exploitation de l'Homme par l'animal, on ne doit pas pouvoir être de gauche et aimer les chats en même temps, c'est antinomique.
Et à tous ceux (et celles d'ailleurs) qui oseront sortir ce cliché benêt et galvaudé "si t'aimes pas les bêtes, c'est que t'aimes pas les hommes!" (copyright BBardot), je me permettrai de répondre que 1) si, ça va, merci, j'ai rien contre les hommes en général et 2) pour autant que je sache, un humain t'arrêtes de lui changer le cul vers l'âge de 2-3 ans, un chat tu vas lui torcher sa litière pendant potentiellement 19 fastidieuses années, alors vous êtes bien aimable mais y a pas marqué "la conne" non plus.
Par ailleurs s'il venait à l'idée de certain(e)s d'invoquer la pathologie de l'Homme pour expliquer mon aversion pour la race féline, oui je le reconnais, ça n'arrange pas les choses. Effectivement, face à un chaton, le Quintal devient aussi débile qu'une ado de 14 ans devant un poster de dauphin et je ne suis pas d'assez mauvaise foi pour nier que ça m'exaspère.
Néanmoins je suis particulièrement remontée ce soir parce que cet après-midi je me suis fait suer la moelle à cuisiner un gâteau aux pommes avec un bébé insomniaque dans les bras et une paire d'enfants en bas âge dans les jambes, or pendant que j'allais chercher mon courrier une saloperie de chat errant s'est introduit dans la cuisine et a brouté toutes les pommes de mon gâteau. Donc je suis un peu colère. Donc je déverse ma bile.
Alors si quelque partisan de la tropézienne zoophile tenait à faire remarquer que la pauvre bête avait faim et que je devrais faire preuve de compassion, il serait temps de soulever 2 points à savoir d'abord que si un homme avait eu la même idée il se serait exposé à pas mal d'emmerdes et ensuite que vu la profusion de souris dans le bled et a fortiori la campagne environnante, si le chat préfère venir bouffer mes pommes c'est que c'est une saloperie de feignasse et je ne ressens que peu de compassion pour une créature qui préfère voler son prochain plutôt que de gagner sa pitance par un travail honnête. Bordel de Dieu.
Je suis déjà pas tellement enthousiaste vis à vis de la domesticité animale en général... En dehors de ce qui se bouffe, se trait, se monte ou se tanne bien sûr, parce qu'élever des bœufs plutôt que d'aller se dégommer une vache à la carabine chaque fois qu'on a envie d'une bavette aux échalotes, c'était quand même assez bien pensé. Mais pour le reste je m'insurge. En particulier contre les chats qui sont une sale engeance et que je conchie véhémentement, qu'ils aillent tous rôtir en enfer 9 fois, ça les changera pas beaucoup après une vie passée à se mijoter le lard sur un radiateur.
Fallait quand même être salement tordu, une fois la peste plus ou moins éradiquée, pour continuer à entretenir ces cossards congénitaux. Le chat c'est l'exploitation de l'Homme par l'animal, on ne doit pas pouvoir être de gauche et aimer les chats en même temps, c'est antinomique.
Et à tous ceux (et celles d'ailleurs) qui oseront sortir ce cliché benêt et galvaudé "si t'aimes pas les bêtes, c'est que t'aimes pas les hommes!" (copyright BBardot), je me permettrai de répondre que 1) si, ça va, merci, j'ai rien contre les hommes en général et 2) pour autant que je sache, un humain t'arrêtes de lui changer le cul vers l'âge de 2-3 ans, un chat tu vas lui torcher sa litière pendant potentiellement 19 fastidieuses années, alors vous êtes bien aimable mais y a pas marqué "la conne" non plus.
Par ailleurs s'il venait à l'idée de certain(e)s d'invoquer la pathologie de l'Homme pour expliquer mon aversion pour la race féline, oui je le reconnais, ça n'arrange pas les choses. Effectivement, face à un chaton, le Quintal devient aussi débile qu'une ado de 14 ans devant un poster de dauphin et je ne suis pas d'assez mauvaise foi pour nier que ça m'exaspère.
Néanmoins je suis particulièrement remontée ce soir parce que cet après-midi je me suis fait suer la moelle à cuisiner un gâteau aux pommes avec un bébé insomniaque dans les bras et une paire d'enfants en bas âge dans les jambes, or pendant que j'allais chercher mon courrier une saloperie de chat errant s'est introduit dans la cuisine et a brouté toutes les pommes de mon gâteau. Donc je suis un peu colère. Donc je déverse ma bile.
Alors si quelque partisan de la tropézienne zoophile tenait à faire remarquer que la pauvre bête avait faim et que je devrais faire preuve de compassion, il serait temps de soulever 2 points à savoir d'abord que si un homme avait eu la même idée il se serait exposé à pas mal d'emmerdes et ensuite que vu la profusion de souris dans le bled et a fortiori la campagne environnante, si le chat préfère venir bouffer mes pommes c'est que c'est une saloperie de feignasse et je ne ressens que peu de compassion pour une créature qui préfère voler son prochain plutôt que de gagner sa pitance par un travail honnête. Bordel de Dieu.
1 commentaire:
c'esst pas possiiiiiiiiible, c'est trop mignon un ptit chatounet d'amour et pis d'abord ça aime pas les pommes!
j'suis sûre que mon filleul a trouvé un moyen pour grimper sur le plan de travail et a embauché un chat errant en couverture...
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