mercredi 27 octobre 2010

banana split

Grâce au formidable site Proupon (oui, je fais de la pub et gratos en plus!) je me suis offert cet après-midi, et pour une somme dérisoire, 2h de soins du corps et du visage avec moult gommage à la vanille, enrobage au cacao, tartinage à la crème etc...
Un ravissement!

Et la banane, qu'est-ce qu'elle fait? elle ronfle.

mardi 26 octobre 2010

tout savoir

Ok, ok, la marraine de mon fils fait pression pour tout savoir de ma vie...
Alors d'accord, tu vas voir c'est passionnant!
J'en étais où? lundi dernier? Eh ben lundi dernier on devait être le 18, j'avais entretien avec mon coach de recherche de travail le matin par un froid de gueux à se congeler les orteils. J'ai traîné mes guêtres à la maison bouquières pour acheter un peu de tissu car je vais me lancer dans la grande aventure du rhabillage-de-chaise-par-moi-même (ouplah!) et pour finir je suis passée voir ma copine Célia et son grenouillot d'Eloi dans son bel appartement car ça faisait un demi siècle qu'on s'était pas vues.
Mardi j'avais ma dernière session mosaïque chez Corinne, en échange d'un cours de photoshoupe. Puis café chez dame Vivi afin de superviser l'emballage du "colis des vieux" de ma Mothe, il paraîtrait donc que la côte de boeuf voyage fort bien par la poste tout du moins dans la mesure où elle dépasse 8 cm d'épaisseur. Et puis nous avons improvisé une raclette party avec Corinne et les garçons car Antoine avait une petite envie de fromage fondu et de patates.
Mercredi c'était ma journée Bilot et Pépère, je sais plus trop ce qu'on a fait mais le soir on accueillait le clan Dumont -Berton en étape Micheline, wipii!
Jeudi j'ai du annuler mon rendez-vous massage-reiki-reflexologie pour cause d'atelier déplacé. Crottedebique. Je suis allée au forum de l'interim à Toulouse où il n'y avait que des jobs d'ouvrier en BTP, j'ai déjeuné avec une cop qui avait un assez gros souci à discuter, j'ai pris un café express avec un DA de la bande pour un brief ultra rapide sur photoshop et je suis allée à mon atelier.
Vendredi j'ai passé la journée à passer des appels réseau et en enquête boulot, et à faire le ménage pour recevoir mon papa qui n'est pas arrivé à cause de la pénurie d'essence. Et aussi j'ai fait bichonner ma voiture par le garagiste pour la prêter nickel chromée à l'Homme pendant les vacances.
Samedi j'ai fait encore du ménage et mon papa est arrivé, direction Barcelona via un week-end à Toulouse.
Dimanche il a plu toute la journée mais nous avons quand même tenté l'aventure jusqu'aux Carmes, que nous n'avons jamais atteints car la ville était bloquée par le marathon de Toulouse. Faich les sportifs. Grâce à une ruse tout à fait brillante quoique souterraine nous avons quand même réussi à aller jusqu'à Victor Hugo.
Lundi, donc hier, j'ai déposé gazou chez sa nounou, nous avons traîné jusqu'au déjeuner puis je suis partie à Toulouse pour un atelier, mon papa a repris la route de Barcelone ma voisine est venue garder Violette, je suis rentrée tard, juste à temps pour faire un calin et un bisou à Bilot avant qu'elle ne prenne la route pour Lisbonne avec son papa. Je reste à la maison avec Gazou, heureusement l'Homme me tient au courant des étapes par sms (burgos, salamanca, ciudad rodrigo...).
Aujourd'hui, une fois le Pépère déposé chez sa nounou, j'étais toute seule à la maison pour lancer la chaudière.
Vive le bois, j'ai failli m'asphyxier dans la cave... et j'ai flairé le cochon fumé toute la journée. J'ai voulu aller faire un peu de shopping pour m'acheter des pantalons, j'ai plus que des jeans, sauf que l'Homme m'a laissé sa Clio et que j'ai eu la mauvaise surprise de découvrir que les freins sont morts, donc je suis partie pour Toulouse et je ne suis pas allée plus loin que le garage de Villefranche. Je roule donc pour les 2 jours à venir dans une splendide 207 avec un énorme autocollant Motrio sur le capot...
Et voilà, nous sommes mardi soir. Pour le moment Gazou dort, ce n'était pas le cas la nuit dernière...

dimanche 17 octobre 2010

lundi 11 octobre 2010

ce weekend

Rapide come back sur le week-end passé. J’en étais restée au ratage de vendredi…

C’était aussi le dernier jour de beau temps, depuis nous sommes passés à la pluie avec du coup une petite pause dans le vent qui nous fait du bien mais ça veut dire froid et humidité en échange…

Vendredi soir j’ai emmené Gazou chez le docteur ; je n’avais pas le courage de l’emmener jusqu’à Toulouse et j’en ai ras le bol que le pédiatre me dise qu’il n’a rien alors qu’il tousse depuis au moins 3 semaines donc je suis allée chez Molavi, sans rendez-vous. Ouhlala ! mais c’est que j’avais oublié que ce n’est pas un rapide… Et par-dessus le marché il ne veut absolument pas brusquer les enfants, alors avec mon Pépère qui commence à hurler dès qu’on l’assied sur la table d’examen, c’était pas gagné… Le docteur a passé un temps fou à tenter de lui faire accepter l’abaisse-langue et l’otoscope, pendant ce temps je pensais aux personnes dans la salle d’attente qui, elles, avaient rendez-vous… et au final on l’a fait version catch, j’ai tenu le Gazou pendant que le docteur l’auscultait de force ou presque. Tout ça pour ça. Il a un traitement avec des antibiotiques, des corticoïdes et des brumisations au nébulisateur et il prend tout ça fort vaillamment depuis 3 jours, de fait ça va beaucoup mieux !

Samedi c’était un condensé de la saison mondaine en 24h. En commençant par une matinée tranquillou en pyjama, vu le temps pourri dehors. Comme le Pépère n’était pas du tout disposé à faire de sieste l’après-midi (merci les corticoïdes…) je l’ai emmené rendre visite à Sophie et Léonard pendant que Bilot était au judo avec son papa. Ensuite nous avions tea-time chez Claire avec Solène et Maël, et pour finir nous faisions un dîner thaï chez Corinne avec Ghyslaine et Nadia. Au menu Laab pet yang (canard) et curry mensamane aux légumes et c’était plutôt une réussite. Je suis assez satisfaite du curry que je commence à bien maîtriser, en revanche encore quelques ajustements à faire sur l’assaisonnement du laab. C’était presque parfait.

Dimanche froid et pluie. Gazou a eu le bon goût de se réveiller à 8h24, quasiment une grasse matinée ! nous avons passé la journée à cocooner chez nous entre tasses de thé chaud, inspecteur barnaby, match de rugby et siestes des enfants. Pas un temps à mettre un pied dehors ! J'ai travaillé sur les prix du concours sur le blog de bilot à la place.

Lundi, aujourd’hui donc, j’avais mon petit Bilot et Corinne pour le déjeuner avant de filer à mon rendez-vous chez Pôlemploi. Aaaah Pôlemploi… de grands moments… je vous offre un extrait d’un entretien type avec ma conseillère :

Elle : « Bonjour Mlle Thomas !

Moi : Bonjour Mlle Thomas. (elle s’appelle Cécile Thomas)

Elle : Alors où en êtes vous, du nouveau ? Excusez moi je n’ai pas répondu à vos mails.

Moi : Effectivement. Alors, avez-vous des informations à me donner concernant les 2 annonces pour lesquelles je vous ai écrit ?

Elle : Oui, j’ai vérifié avec mes collègues, le premier est en phase finale de recrutement…

Moi : Ca veut dire que vous n’allez pas présenter mon dossier ?

Elle : Non, ce n’est pas la peine. Pour le 2e, nous avons eu l’annonce mais la sélection ne passe pas par nous.

Moi : Et alors ? vous pouvez faire quelque chose pour appuyer ma candidature ?

Elle : Non, la sélection des candidatures ne passe pas par nous.

Moi : … mais vous savez où en est le recrutement ?

Elle : non, ma collègue ne sait pas où ils en sont. Ils doivent avoir des tonnes de CV !

Moi : L’offre a été réactualisée vendredi sur votre site, à votre avis pour quelle raison ?

Elle : Euh… ils doivent vouloir plus de CV ?

Moi : …

Elle : Bon, alors où en êtes vous sur le poste de 4 mois en intérim ? Il faut être réactive ! (…)»

Je sors de ces entretiens assez navrée, j’avoue….

Ce soir je récupérais Gazou, Bilot, Solène et Maël à 17h. Tout une petite smala dans ma voiture…

Le Gazou est juste adorable, il ne pense qu’à boulotter et dîne souvent 2 fois : une fois vers 19h parce qu’il ne peut pas attendre plus longtemps et une 2e fois après son bain pendant le dîner des grands où il réclame sa part de notre repas. Ce soir il a exigé des pâtes et du rôti de veau. Quand on le faisait descendre de sa chaise, il se précipitait sur la mienne ou celle de son papa pour continuer à piquer dans les assiettes. Ensuite il essayait d’escalader celle de Bilot pour taper dans sa banane, et il s’est encore boulotté un quart de douzaine de rondelles d’andouille pour le dessert. Un petit ventre sur pattes ! Quand il n’est pas occupé à manger des cacon-koun’ca-cacon ! il réclame les dessins animés des barbapapas (il adooore les pa’paba) ou il chantonne « pa-pa-paaaa !... » pour avoir le court métrage du petit chat environ 22 fois par jour. Super Pépère !


dimanche 10 octobre 2010

mèche 2

Non, no way, pas de photo.
Un petit dessin si vous voulez...



Voilà, la coiffeuse m'a fait la coupe A, spéciale lycéenne sous greffe d'ipod, qu'on appelle également la spéciale cheveux gras parce que tu as forcément la main dans les cheveux toutes les 10 secondes (à moins d'être borgne à la base) et qui se transforme immanquablement en coupe B en moins d'une semaine. En fait dès que tu mets une barrette, ce qui arrive forcément très vite bien que tu sois équipée du cheveu type FMR (Fin, Mou et Raide) calibre 3 microns du catalogue "cheveux de bébé automne hiver 2010".

samedi 9 octobre 2010

nation, un peu de lecture

Non, mais j'ai triché hein, j'avais déjà terminé Nation avant de lire Maskerade. J'avais juste pas eu le temps de publier d'extrait.

Nation c'est une jolie histoire de 2 personnages seuls sur une île du Pacifique. Mau, seul survivant de sa tribu après un raz de marée, et Ermintrude, seule survivante du naufrage de son navire sur cette île. Mais ce n'est pas du tout Paul et Virginie...

At which point a spear crashed through the cracked porthole, hissed across the cabin and left via the porthole on the other side, which had lost all its glass to the wave.

Ermintrude sat very still, firstly out of shock and then because she was remembering her father's advice. In one of his letters to her, he had said that when she joined him in Government House she would be his First Lady, and would be able to meet all kinds of people who might act in ways she found strange at first, and perhaps would even misunderstand. And so she would have to be gracious and make allowances.

Very well. This was about the time the boy would be here. What had she expected him to do when he got here? Even on a boat that isn't wrecked, it's hard to find a doorbell. Perhaps throwing a spear means: Look, I've thrown away my spear! I'm not armed! Yes, that sounds right. It's just like shaking hands, after all, to show you are not holding a sword. Well, I'm glad that's one little mystery solved, she thought.

For the first time since the spear had hissed across the cabin, she breathed out.

Outside, Mau was beginning to wonder if something had gone wrong when there were some wooden noises and the ghost girl's head appeared over the side of the big canoe.

"So kind of you to be punctual," she said, trying to smile, "and thank you very much for breaking the window, it was getting very stuffy in here!"

He didn't understand, but she was very nearly smiling and that was a good thing. She wanted him to come into the wreck, too. He did so, very cautiously. The Sweet Judy had keeled over a bit when the wave had dropped her at ground level, so everything sloped.

Inside was just a mess, made of many different messes all jumbled up. Everything stank of mud and stale water. But the girl led him into another space, which looked at least as though someone had tried to clean things up a bit, even if they had failed.

"I'm afraid the chairs all got smashed," said the girl, "but I'm sure you will find poor Captain Roberts's sea chest an adequate substitute."

Mau, who had never sat on anything but the ground or a hut floor when he ate, edged on to a wooden box.

"I thought it would be nice to get properly acquainted, since we haven't been introduced," said the ghost girl. "Obviously the fact that we cannot understand one another will be something of a drawback . . ."

While this gibberish was going on, Mau stared at the fire in its little cave. Steam was coming out of a round black pipe. Next to it was a flat round thing. Pale things on it looked like some kind of bread. This is a Woman's Place, he thought, and I don't know the rules . . . I must be careful. She might do anything to me.

"...and the butter had gone runny, but I threw away the flour that had gone really green. Would you like some tea? I expect you don't take milk?"

He watched as a brown liquid was poured into a blue and white bowl. Mau watched it carefully, while the girl went on talking, faster and faster. How do you know what's right and wrong? he wondered. What are the rules when you are all alone with a ghost girl?

He'd not been alone on the Boys' Island. Oh, there hadn't been anyone else there, but he'd felt the Nation around him. He was doing the right thing. But now? What were the right things? The Grandfathers bellowed and complained and ordered him about and didn't listen.

He couldn't find the silver thread either, or the picture of the future. There was no picture now. There was just him and this girl, and no rules to fight the darkness ahead.

Now she had taken the bready things off the fire, and put them on another of the round metal things which he tried to balance on his knees.

"Most of the crockery got smashed in the wreck," said the girl sadly. "It's a miracle I could find two cups. Will you have a scone?" She pointed at the bready things.

Mau took one. It was hot, which was good, but on the other hand it tasted like a piece of slightly rotten wood.

She was watching anxiously as he moved the mouthful around in his mouth, looking for something to do with it.

"I've done it wrong, haven't I?" she said. "I thought the flour was too damp. Poor Captain Roberts used to keep a lobster in the flour barrel to eat the weevils, and I'm sure that can't be right. I'm sorry, I won't mind if you spit it out."

And she started to cry.

Mau hadn't understood a word, but some things don't need language. She weeps because the bread is awful. She should not cry. He swallowed, and took another bite. She started, and sniffed, not certain if it was too early to stop crying.

"Very nice food," said Mau. He swallowed the thing with a fight and was sure he felt it hit the bottom of his stomach. And then he ate the other one.

The girl dabbed at her eyes with a cloth.

"Very good," Mau insisted, trying not to taste rotted lobster.

"I'm sorry, I can't understand you," she said. "Oh, dear, and I completely forgot to lay out the napkin rings. What must you think of me..."

"I don't know the words you say," said Mau.

There was a long helpless pause, and Mau felt the two lumps of bad, dreadful bread sitting in his stomach planning their escape.

vendredi 8 octobre 2010

mèche

Je suis allée chez le coiffeur.
Mais je ne posterai pas de photo.

J'ai fait double boulette:
1/ j'ai voulu faire ma belle et au lieu d'aller chez ma petite coiffeuse modeste qui coupe les cheveux, au pied de la lettre, je suis allée dans un salon moderne avec programme de massage intégré dans le fauteuil à shampooing et coiffeuse-visagiste hype en jean temps des cerises qui essaie de te fourguer l'intégralité de la gamme kérastase entre 2 coups de ciseaux.
2/ j'ai négligé de préciser que j'ai besoin de pouvoir m'attacher les cheveux et que je ne supporte pas d'avoir des mèches dans les yeux. En fait quand elle a dit "on va conserver la longueur", j'ai omis de me méfier. Et j'ai posé mes lunettes...
Alors quand je les ai remises, qu'elle m'a déposé une méchasse de 8kg sur le coin de la branche gauche et que j'ai réalisé qu'elle m'avait fait en fait sa coupe à elle... ... .. . j'ai fait pchit.
J'ai été polie quand même, j'ai commencé par lui dire "mais euh... la mèche là... vous n'allez pas la laisser comme ça, hein?". "Si si" qu'elle a dit. "Ah mais ça va pas être possible!" que j'ai répondu.
Et voilà pas qu'elle commence à m'expliquer que si, c'est beaucoup mieux comme ça, c'est plus joli ça souligne le regard, d'abord la mèche elle me tombe pas dans les yeux vu que les lunettes la retiennent tant que je baisse pas la tête, et sinon bon si j'insiste elle peut me faire une frange.
"Non" j'ai dit.
Et comme je suis gentille je me suis abstenue de lui éclairer mon point de vue, notamment sur le fait que je vais pas me faire greffer une minerve pour être sûre que sa méchasse reste en position ni sur l'invention de l'eye liner pour souligner le regard qui marche beaucoup mieux qu'un échantillon de crinière de poney en travers de la tronche... J'ai juste dit "Là, je vais pas supporter voyez vous, vous me colleriez un scotch sur l'œil que ça me serait tout autant désagréable alors il va falloir arranger ça autrement".
"Ah ben non, regardez, avec de la laque ça tient très bien" elle a dit, ainsi qu'une pléïade d'arguments foireux autour du thème je-sais-quand-même-mieux-ce-qui-est-hype-dans-le-microcosme-de-la-capilliculture qui camouflait assez mal une bonne dose de ah-j'ai-peut-être-un-peu-merdé-mais-je-vais-pas-l'admettre-de-toute-façon-elle-va-pas-me-gonfler-la-mémère.
Et elle m'a même pas offert un café, cette conne.
Au moins elle a arrêté d'essayer de me vendre des masques au jus d'aisselle de zibeline pour pointes facétieuses...
Alors j'ai payé, je suis partie et je ne reviendrai jamais. Et vu le vent qu'il y a en ce moment, la laque a tenu environ un huitième de seconde. Je suis rentrée chez moi, j'ai fait "hiiiii bouhou gnhan hin-hin haaaaa" pendant tout le trajet, je me suis précipitée sur ma brosse à cheveux pour redistribuer le bouzin et je suis allée me coucher vu que ça m'avait collé la migraine de la semaine (j'ai mes ratapouètes aussi, alors ça fait double migraine bien tassée).
Maintenant j'ai une moche barrette qui retient la méchasse, adios la hype-touffe, et je suis dé-gôu-tée!!!

jeudi 7 octobre 2010

sudation

Aujourd'hui Marie-Feignasse de la Molle a chaud dans son jean, faudrait vraiment qu'elle se fasse épiler.

mercredi 6 octobre 2010

sortie culturelle

Chez nous, c'est la zone. La voirie refait tout le réseau d'eau du bas en haut de notre rue, et aujourd'hui, un mercredi où j'ai mes 2 loulous, c'est pile chez nous que ça tombe. donc depuis ce matin c'est meuleuse, marteau-piqueur, tracto-pelle et compagnie. Alors hop! les chéris sous le bras et en route pour Toulouse, nous allons au Museum.

Car le Museum d'Histoire Naturelle, c'est la destination idéale pour occuper des enfants une après-midi.

Cerise sur le gâteau, dans le cadre de la Novela (le festival de savoirs partagés) l'entrée est gratuite jusqu'au 17 octobre. Et chantilly sous la cerise, Corinne, Antoine et Mathieu étaient avec nous.

Bilot et Mathieu ont exploré tous les écrans tactiles du musée, et Antoine a veillé sur Gazou.
Le Pépère a tenu le choc pendant 3 heures, grimpé, rampé, escaladé, exploré, etc. Et nous avons fait un cache-cache géant dans la grande salle "admettre l'évidence". Je vous invite à venir, c'est une belle sortie.



Il a aussi démonté la moitié des postes de travail de la médiathèque jeunesse, mais ça... ce n'est pas une grande surprise, on ne lui en veut pas.
Bilot est prête à revenir n'importe quand à condition qu'on ajoute un passage par les aires de jeux du jardin des plantes.
Nous sommes rentrés après un goûter à la cafétéria du museum et un détour dans le centre pour acheter de nouvelles chaussures au Gazou, le pauvre avait pris 2 pointures, il devait se sentir à l'étroit dans ses sandales!

Et puis l'Homme est rentré ce soir de son déplacement à Paris (2 jours seule avec mes trésors...), en rapportant plein de zakouskis et du porc laqué pour moi, un sac de sport Hellokitty pour les affaires de judo du Bilot et des quilles Barbapapa pour le Pépère qui adooooore "ba'papa".

mardi 5 octobre 2010

encore un peu de soleil

alors il faut en profiter tant que ça dure!


lundi 4 octobre 2010

maskerade

Bon, en fait je suis mauvaise en critique littéraire, alors à la place, je vous donne un extrait, et après vous faites comme vous voulez. C'est bien non?

"He had not fully understood the events of the first two acts but knew that this was perfectly ok because one would have to be quite naive to expect good sense as well as good songs. Anyway, it would all be explained in the last act (…). It would almost certainly turn out that the woman one of the men had been rather daringly courting would be his own wife, but so cunningly disguised by a very small mask that her husband wouldn’t have spotted that she wore the same clothes and had the same hairstyle. Someone’s serving man would turn out to be someone else’s daughter in disguise; someone would die of something that didn’t prevent them from singing about it for several minutes; and the plot would all be resolved by some coincidences which, in real life, would be as likely as a cardboard hammer."

dimanche 3 octobre 2010

chocolat

Que faire un samedi avec un Pépère?
Des guilis...
Des pirouettes...
Des calins...
Et un gâteau au chocolat!!! pour recevoir Solène et Maëlle et Claire et Corinne pour le goûter.
Alors... Préparer 3 mélanges:
  • 125 g de chocolat + 100g de beurre fondus au bain marie
  • 3 oeufs + 90g de sucre fouettés
  • 30g de poudre d'amande + 30g de poudre de noisette + 2 cuil à soupe de maïzena + 1/2 sachet de levure
Additionner les mélanges successivement.
Envoyer le Pépère choisir un moule à gâteau et beurrer le moule.


Verser la préparation dans le moule et mettre au four entre 15 et 20 minutes à 180° (ça dépend si on le veut +/- fondant)

Donner la spatule à lécher au Pépère.

vendredi 1 octobre 2010

ma bande

A y est, après trois jours de séminaire d'intégration j'ai une nouvelle bande.
Et franchement, mes potes de between 2 jobs, ils sont chouette. Mais on en reparlera...