lundi 24 septembre 2012

en résumé et sans images

histoire de ne pas perdre le fil, et sans m'éterniser sur mes difficultés à poster quand je n'ai même pas une petite photo pour illustrer, le résumé des derniers épisodes...
 
La rentrée est faite, les premiers rhumes sont passés par là, nous guettons les poux comme des sioux à l'affût, l'incontournable shopping de chaussures neuves est réglé et cette année le maître de l'élémentaire ne donne pas de devoirs (ou presque, cet homme me plaît). Les cartables sont donc infiniment légers et c'est une bonne nouvelle pour les scolioses à venir, scoliose du grec skoliosis= torsion et non du latin schola=étude, étonnant non?
 
Nous renouons tant bien que mal avec une activité sociale (ah bon, on avait arrêté?) et des week-ends chargés au taquet. Ainsi samedi dernier nous avons déjeuné chez Célia histoire de se retrouver un peu, de rencontrer les jumelles Faustine et Agathe et de découvrir sa belle nouvelle maison avec ses magnifiques carreaux de ciment mis en couleurs par la maîtresse de maison elle même (eh, c'est Célia, quand même!...).
 
Samedi soir, dîner chez Claire M avec son nouvel amoureux ... hiii, j'adooore les histoires d'amoureux...
Maël: Mamaaaannnnnn! Solène elle a dit à Violette que t'es amoureuse de Yannick, on devait pas le dire c'était un secreeeeeeeeeeeeet!!!!!
Moi, toujours prête à calmer le débat: Ooh tu sais Maël, on s'en doutait un petit peu quand même...
Bref, orgie de lasagnes. Wééééééééé!!!!
 
Dimanche marché avec ma Bolette et ponçage de volets, et d'autres trucs que j'ai oubliés qui devaient inclure une promenade en vélo, je crois.
Lundi, mardi, mercredi, etc. du boulot, du boulot, du boulot.
 
Samedi-re (avant hier) après une petite routine de déchèterie-courses-poste-bibliothèque-ponçage de volets-Bastorama, hop! un dîner chez des collègues de l'Homme. En ville, carrément, avec du monde partout que je ne connais pas, des gens très hype, très graphistes, très informaticiens, bref j'ai passé la soirée planquée dans la salle de jeux avec les moins de 4 ans pendant que Bilot, perchée sur un tabouret de bar, apprenait l'art de préparer des mojitos.
"Maman, moi j'ai bu un bourito, c'est trop bon!"
Et le Gazou, sensible à la hyperie, commentait le mur des toilettes d'un "Ouah, il est sympa ce mur..."
(Un simple mur de carreaux repeints en blanc, je précise, et comme je m'étonnais de son commentaire il a ajouté "ouais, il est sympa ce mur avec un Z")
 
Dimanche matin, nous avons accompagné le Bilot au poney club où elle a pu toucher de ses propres mains un authentique poney vivant. Extase du Bilot. La semaine prochaine je l'accompagne à son cours d'essai: une heure et demie à brosser le bestiau dessus-dessous à la gratounette, à tenir la bride, à éviter de piétiner dans le crottin, bref du bonheur... J'ai la trouille des poneys et ces satanées bestioles ne m'ont jamais obéi, mais l'Homme ne supporte pas le cocktail foin-poussière-crottin plus de 4 minutes sans faire une crise d'asthme, donc la corvée poney ce sera pour bibi. Que ne ferait-on pour le bonheur d'un Bilot...
 
Et hier après-midi j'ai eu l'immense privilège de tenir le stand de l'association scolaire au vide grenier des boulistes de Villefranche, par un vent démoniaque et un froid de gueux. Mes emplettes ce sont résumées à un café dégueulasse qui a fini dans le caniveau et un pull immonde, une pouille à 1€, que j'ai acheté au stand d'à côté pour ne pas décéder par congélation. Néanmoins grâce à cette glorieuse action l'association scolaire a récolté 83€, oui madame. Et moi j'ai pris la résolution solennelle de ne plus flinguer un seul de mes week ends avec ces conneries. Je veux bien continuer à préparer des quiches froides, mais 5 heures en plein vent (parce que par ici c'est pas du vent, c'est du VENT) chez les boulistes qui sont à Villefranche ce que le club taurin est à Nîmes, à me faire éborgner par les albums de Oui-oui emportés par les bourrasques, ça c'est terminé.
 
Et sinon THE nouvelle de la semaine c'est que le Gazou a enfin un vrai lit de grand. Le lit de bébé à barreaux partira sur le bon coin après la visite de Maëlle. Alors il ne reste plus vraiment la place de se tenir debout dans la chambre sans se cogner à un meuble, mais tout de même c'est un évènement.
Sinon, je vous avais dit qu'il est propre la nuit?
Que je suis fière de ce petit garçon qui dit "Maman tu sais que je t'aime?" en serrant mon cou dans ses petits bras...
 

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