samedi 28 septembre 2013
les bonnes idées de la Mère Educ
Blond-blond: La maîtresse a dit que les parents doivent venir à la réunion.
Moi: C'est quel jour?
Blond-blond: Le jour bleu.
Su-per.
mercredi 25 septembre 2013
non mais sérieux???
Attends une seconde là... J'ai bien lu? Lily? Non mais sans déconner. Et per-son-ne n'a pris la peine de m'informer qu'Eva était enceinte.
Les filles, je suis über-déçue.
mécanique des flux
à lire lus
et au passage on notera que moins le livre est sérieux, plus le titre est gros et lisible.
et que je suis pas loin de la panne sèche...
relâchement
10h53: je signe des validations de factures sur le coin du bureau de l'assistante Achats.
Anne: Tu as repris le footing cette année, Claire?
Moi: Le footing? Euh non, j'ai couru 2 fois l'an dernier, ça va. En revanche j'ai fait de la gym hier soir.. je recommencerai pas.
Pardon? "Je ne recommencerai pas"? Mes fessiers viennent de s'exprimer directement par ma bouche sans passer par la case cerveau?
Il y a du relâchement... Je vais te remettre tout ça en bon ordre d'ici mardi prochain, ça va pas mégotter. Enfin, si j'arrive à remarcher normalement d'ici là.
Anne: Tu as repris le footing cette année, Claire?
Moi: Le footing? Euh non, j'ai couru 2 fois l'an dernier, ça va. En revanche j'ai fait de la gym hier soir.. je recommencerai pas.
Pardon? "Je ne recommencerai pas"? Mes fessiers viennent de s'exprimer directement par ma bouche sans passer par la case cerveau?
Il y a du relâchement... Je vais te remettre tout ça en bon ordre d'ici mardi prochain, ça va pas mégotter. Enfin, si j'arrive à remarcher normalement d'ici là.
a jeudi in the life_guest star (3)
Je ne sais pas si je vous en ai déjà parlé, j'ai une affinité naturelle avec les Sophie. Sophie là haut sur la montagne, Sophie mon ex-siamoise de bureau, et Sophie ma pote de between 2 jobs qui n'est plus between 2 jobs depuis peu et qui me fait l'honneur du récit de sa rentrée.
a jeudi in the life of Sophie ChaLu
38 ème jeudi de l'an de Grâce 2013.
Cela faisait 32 jeudis que j'avais arrêté de travailler...et à peu prêt 64 que j'avais promis à ma copine d'en raconter un.
Si je l'avais fait plus tôt, j'aurais parlé de mes longs trajets vers la très belle préfecture du Tarn, des courses faites entre midi et deux pour gagner/tuer du temps (ça dépend des jours, le Tarn, c'est tout de même très calme). Pour cause de confidentialité, je n'aurais pas pu parler de mon ancien boulot ou "la situation était grave mais pas désespérée", ensuite, pour cause de chômage, je n'aurais pas pu parler de boulot du tout et pour cause de grosse flemme, je n'ai jamais trouvé le bon moment.
Désormais, je suis censée être une fille bien reposée, qui a eu le temps de bien organiser sa maisonnée (et ses habitants) afin d'attaquer avec enthousiasme sa nouvelle, nouvelle, nouvelle, nouvelle, nouvelle carrière professionnelle.
Mouaich, faut voir.
Pour fêter le retour au travail de sa mère, petit dernier a décidé de faire une bronchite, dès le premier jour. L'ainé, pas en reste, s'y est mis ce matin, certainement pour que Maman ait des tas de choses à raconter dans le blog de sa super copine.
"Ça commence bien" me suis-je dit.
Mais c'était sans compter sur le Mâle Alpha qui s'est transformé en louve afin de soigner ses petits toute la semaine.
En bonne Nana, j'ai tenté plusieurs fois de rester à la maison afin qu'il puisse s'acquitter vaillamment de ses obligations professionnelles, mais il m'a répondu fermement : "Ah, non, pas d'absence, ça craint trop la première semaine !"
Oui, oui, tu as bien lu l'amie...C'est l'avantage de vivre avec un "son propre patron", on n'est pas riche mais on a des bonus temps.
Alors voilà, le coeur léger et rassurée de savoir ma progéniture en sureté, je suis partie héler mon bus. Oui, LE BUS !
Après vingt ans de carrière, ça y est, mes efforts ont payé, je travaille en ville !
Fini, les rendez-vous à 5 heures du mat dans un Carrouf du fin fond de la Meuse, fini "les 200 bornes pour le prochain client", fini la zone franche du nord de Paris ou y a même pas un boulangerie, fini le parking boueux et la campagne isolée de chez les deux psychopathes (ceux qui savent comprennent).
Maintenant, si je veux, entre midi et deux, ou, soyons folle, après le bureau , je peux aller :
Chez Monop ou, dans un parc, ou, chez le dentiste ou, m'acheter un livre ou, essayer n'importe quel resto ou, marcher sur un trottoir (une surface dure et plane).
Et puis aussi, je lis la presse des gens de la ville : 20 minutes et ses amis Metro et Direct Matin.
Et puis aussi, je peux mettre des chaussures de fille à talons, même si ça fait mal aux pieds, m'en fout, maintenant, je suis :
Ally Mc Beal, Olivia Pope ou Carry Bradshaw.
Il ne me reste plus qu'à perdre 25 kilos, à vendre mes enfants pour m'acheter des Louboutin et à faire mon droit à Harvard.
"Jean Jaurès", c'est là que je descends pour rejoindre ma nouvelle équipe qui est bien sympa et bien réelle.
Le temps d'apprendre le milliard de choses que je ne sais pas et hop, je rentre pour retrouver les trois êtres vivants que j'aime le plus. Le bain, les cris, les antibio, le diner, l'histoire du soir, les bisous et les câlins, y a rien de mieux et "y a d'l'amour le dedans".
Cela faisait 32 jeudis que j'avais arrêté de travailler...et à peu prêt 64 que j'avais promis à ma copine d'en raconter un.
Si je l'avais fait plus tôt, j'aurais parlé de mes longs trajets vers la très belle préfecture du Tarn, des courses faites entre midi et deux pour gagner/tuer du temps (ça dépend des jours, le Tarn, c'est tout de même très calme). Pour cause de confidentialité, je n'aurais pas pu parler de mon ancien boulot ou "la situation était grave mais pas désespérée", ensuite, pour cause de chômage, je n'aurais pas pu parler de boulot du tout et pour cause de grosse flemme, je n'ai jamais trouvé le bon moment.
Désormais, je suis censée être une fille bien reposée, qui a eu le temps de bien organiser sa maisonnée (et ses habitants) afin d'attaquer avec enthousiasme sa nouvelle, nouvelle, nouvelle, nouvelle, nouvelle carrière professionnelle.
Mouaich, faut voir.
Pour fêter le retour au travail de sa mère, petit dernier a décidé de faire une bronchite, dès le premier jour. L'ainé, pas en reste, s'y est mis ce matin, certainement pour que Maman ait des tas de choses à raconter dans le blog de sa super copine.
"Ça commence bien" me suis-je dit.
Mais c'était sans compter sur le Mâle Alpha qui s'est transformé en louve afin de soigner ses petits toute la semaine.
En bonne Nana, j'ai tenté plusieurs fois de rester à la maison afin qu'il puisse s'acquitter vaillamment de ses obligations professionnelles, mais il m'a répondu fermement : "Ah, non, pas d'absence, ça craint trop la première semaine !"
Oui, oui, tu as bien lu l'amie...C'est l'avantage de vivre avec un "son propre patron", on n'est pas riche mais on a des bonus temps.
Alors voilà, le coeur léger et rassurée de savoir ma progéniture en sureté, je suis partie héler mon bus. Oui, LE BUS !
Après vingt ans de carrière, ça y est, mes efforts ont payé, je travaille en ville !
Fini, les rendez-vous à 5 heures du mat dans un Carrouf du fin fond de la Meuse, fini "les 200 bornes pour le prochain client", fini la zone franche du nord de Paris ou y a même pas un boulangerie, fini le parking boueux et la campagne isolée de chez les deux psychopathes (ceux qui savent comprennent).
Maintenant, si je veux, entre midi et deux, ou, soyons folle, après le bureau , je peux aller :
Chez Monop ou, dans un parc, ou, chez le dentiste ou, m'acheter un livre ou, essayer n'importe quel resto ou, marcher sur un trottoir (une surface dure et plane).
Et puis aussi, je lis la presse des gens de la ville : 20 minutes et ses amis Metro et Direct Matin.
Et puis aussi, je peux mettre des chaussures de fille à talons, même si ça fait mal aux pieds, m'en fout, maintenant, je suis :
Ally Mc Beal, Olivia Pope ou Carry Bradshaw.
Il ne me reste plus qu'à perdre 25 kilos, à vendre mes enfants pour m'acheter des Louboutin et à faire mon droit à Harvard.
"Jean Jaurès", c'est là que je descends pour rejoindre ma nouvelle équipe qui est bien sympa et bien réelle.
Le temps d'apprendre le milliard de choses que je ne sais pas et hop, je rentre pour retrouver les trois êtres vivants que j'aime le plus. Le bain, les cris, les antibio, le diner, l'histoire du soir, les bisous et les câlins, y a rien de mieux et "y a d'l'amour le dedans".
mardi 24 septembre 2013
Voilà le coupable
Mais que faisais je donc de mes soirées? Qu'est ce qui pouvait bien me tenir éloignée de la fatale attraction du clavier? Par quelle occupation pouvais je justifier de rester absente de la blogosphère?
Eh ben vous savez quoi? Ça y est, j'ai dompté le crochet.
Meet Roxy le Foxy, nouveau copain (copine?) du Bilot joli.
Rentrée
C'est bon les filles, j'ai compris, soit je re-poste soit vous lâchez les chiens. Allez, je suis là. Qu'est ce qui s'est passé depuis un petit mois? D'abord la rentrée scolaire, sans stress cette année, pas de larmes, avec le sourire. Ensuite les activités, Minimec au judo et poney pour Bilot, peut-être un peu de gym pour moi (si j'y retourne) et brouettes pour le papa.
Rentrée au bureau aussi avec un nouveau chef et de nouvelles couches de pression, pas de larmes (faut pas charrier) mais pas avec le sourire non plus.
Retrouvailles progressives avec les copines, au fil des soirées et des week ends.
Un week end à Solaize chez Estelle avec des jambes qui n'est pas que virtuelle ET avec 4 casteriots qu'on aurait jamais imaginé voir là.
mercredi 11 septembre 2013
dimanche 8 septembre 2013
message personnel
Je l'ai trouvé. C'est l'Homme au bouquet de fleurs, et c'est bien Maxime Leforestier.
En revanche je n'ai pas encore mis la main (l'oreille?) sur l'autre chanson à laquelle ça me fait penser.
En revanche je n'ai pas encore mis la main (l'oreille?) sur l'autre chanson à laquelle ça me fait penser.
dimanche 1 septembre 2013
Azur
Suite au succès de l'expérience Soupe de Ponyo (qui marche toujours), les enfants étaient demandeurs pour un nouveau menu à thème cinématographique, ce soir c'était donc un dîner inspiré d'Azur et Asmar. La scène du déjeuner quand Azur retrouve sa nourrice faisait rêver Bilot. Je leur ai donc cuisiné un couscous de légumes de saison, l'Homme a préparé des boulettes et Bilot et moi avons confectionné un baklava entre filles.
je suis toujours en misère pour la qualité des photos, je jongle entre les appareils et pas le temps de travailler les retouches, désolée
Baklava de la princesse Shamsuss Sabah: pour un plat de 20x15cm
Mixer grossièrement 200g d'un mélange amandes et/ou noix et/ou noisettes et/ou pistaches.
Mélanger avec 50g de beurre fondu, 70g de sucre roux, 4 cuillers à soupe d'eau de fleur d'oranger et une grosse pincée de cannelle en poudre.
Faire fondre 50g de beurre. Préchauffer le four à 180°.
Beurrer un plat de 20x15cm environ.
Disposer au fond une feuille de brik découpée à la taille du plat. Avec un pinceau de cuisine, badigeonner la feuille de beurre fondu. Recommencer avec 4 autres feuilles pour avoir un feuilletage de 5 feuilles.
Verser le mélange de fruits secs hachés et le répartir en une couche uniforme.
Faire un second feuilletage de 5 feuilles de brik badigeonnées de beurre fondu au dessus du mélange de noix, terminer par une bonne couche de beurre fondu.
Enfourner 15 minutes.
5 minutes avant la fin de la cuisson, chauffer dans une petite casserole 5 cuillers à soupe de miel + 1 cuiller à soupe d'eau de fleur d'oranger.
Lorsque le gateau est cuit, le sortir du four et verser dessus le miel chaud.
Mettre à refroidir idéalement jusqu'au lendemain. Le mien a succombé à notre gourmandise avant d'avoir complètement refroidi.
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