mercredi 31 octobre 2012

smells like halloween spirit

 En mélangeant bien tout ça,
 on peut faire des pancakes en forme de fantôme ou de chauve souris
 pour ces enfants là.
 ensuite ils pourront aller racketer les voisins
 

rations de ménage

Mais? mais enfin Bert...?
Du chamaillage de couple en public? je croyais que c'était interdit par la Convention de Castets de 2008!
D'abord c'est une loi universelle que c'est TOUJOURS la fille qui fait la lessive. Etonnament, un homme capable de démonter et remonter entièrement un Mac en moins de 4 minutes ne peut pas appréhender la compléxité des 2 boutons de la machine à laver.
D'ensuite, par la même loi universelle, c'est TOUJOURS (ou presque parce que des fois il n'est pas là) le garçon qui sort les poubelles. Pourquoi? parce que les poubelles c'est lourd et parce que nous les filles on n'aime pas se salir. Les garçons ils s'en fichent de se salir et tu sais pourquoi??? parce que c'est TOUJOURS la fille qui fait la lessive.
 
Après, on est d'accord que toutes les poubelles qui ne salissent pas (corbeille à papier du bureau, poubelle de la salle de bain, verre à recycler...) ne sont pas assimilées à des vrais poubelles et restent donc du domaine exclusif de la fille.
Mais relativisons, car bien que le ratio puisse sembler déséquilibré au premier regard (en moyenne 7 lessives par semaines contre 2,3 poubelles et étant entendu que 1 lessive = 1 tri + 1 machine + 1 sèchage + 1 pliage + 1 rangeage alors que 1 poubelle sortie = 1 poubelle sortie, soit un rapport de 35 à 2,3) oui bien que le ratio puisse sembler déséquilibré, n'oublions pas que le garçon conserve bien souvent le monopole de certaines tâches telles que monter les cloisons de placo, poser le carrelage, installer les volets électriques, poser les fenêtres, alimenter la chaudière à bois... Ah oui, mais la chaudière à bois, c'était son choix et ça pourrit bien le quotidien de la fille 6 mois par an alors c'est la moindre des choses...
Le garçon peut aussi laver les enfants (chez toi), les emmener et les ramener de l'école (chez moi), gérer la cave à vin...
 
Finalement, en creusant bien et même si ça ne saute pas toujours aux yeux, je suis sûre que le bilan est à 50-50.
Alors, on fait la paix?

samedi 27 octobre 2012

le sushi sur le toit

Mon Bilot est addict aux sushis et à la miso donc, par ce week end de grand froid, nous avons quitté notre nid douillet direction la grande ville sous prétexte de 
1/ récupérer la voiture du bureau que j'emprunte pour une quinzaine, rapport à ce que la mienne ne sera réparée que dans un mois et qu'entre temps je jongle avec les voitures de prêt
2/ acheter des chaussons aux grands pieds de nos poulets
3/ trouver un cadeau de naissance pour Mini-mout' qui est attendu sous huitaine et nous faire extorquer un manga par le Bilot et une winchester en mousse par le Gazou, qui dort avec depuis bien entendu
Mais en réalité pour nous farcir d'onigiri.
Notre adresse à sushis? oh, ce n'est pas la meilleure de Toulouse mais ça a l'avantage d'être un endroit spacieux et lumineux, où le service est rapide car c'est quasiment un self, totalement sécurisé, rarement bondé... bref l'idéal avec un 3-ans turbulent. Et en plus avec vue panoramique sur les toits de Toulouse, c'est pas du bonheur?
 

mercredi 24 octobre 2012

gavarnie

Que font les loulous pendant que leur mère trime? du montagne bic.

lundi 22 octobre 2012

looooooooooooooooooooose

Alors c'est un post pour toutes les copines qui ne comprennent pas pourquoi sur les blogs des autres tout est toujours parfait. Pourquoi les autres, elles y arrivent à être femme active, maman, cuisinière, décoratrice d'intérieur, créatrice de trucs, femme fatale et tout le tralala, alors que nous, ben non on y arrive pas.
Nous, on a pas toujours la patience, on a des fois le cheveu gras et l'oeil cerné, souvent la goutte au nez, aucun magazine branché ne voudrait d'une photo de notre maison, même les rares fois où elle est rangée, et puis au boulot c'est pas tous les jours facile, on est quelquefois à découvert à la banque, on rentre difficilement dans nos vieilles fringues d'y a 5 ans et non, on ne sait pas ce qu'on va faire pour le dîner.
C'est un post qui aura une photo en illustration quand j'aurai rechargé la batterie du pomme-phone.
Ce sera une photo prise samedi matin sur le parking du supermarché parce que oui, malgré les ruses diverses élaborées, j'en suis comme tout le monde réduite à aller au supermarché juste le pire jour de la semaine, avec mes 2 moufflets sous le bras, en ayant presque pas dormi de la nuit entre toux, nez bouché et "j'ai perdu mon doudou".
Et puis après à la pharmacie ("la boulangerie des médicaments" dit le Gazou) pour essayer de dénicher un quelconque remède miracle pour repousser le rhume chronique qui nous tient tout l'hiver.
Et puis après, en revenant de la pharmacie, j'ai cassé ma voiture. Comme une grosse c...e parce que c'est vrai que sur son trajet quotidien on est moins vigilant. Carrément moins.
Disons que nous avons eu beaucoup de chance parce que personne n'a de gros bobo, et que c'est le plus important.
Moi je déprime. Il faut bien se rendre à l'évidence, femme active, super maman, épouse fiancée conjointe aimante, amie attentionnée tout ça tout ça, j'y arrive pas, j'ai pas le niveau.
Je vais peut-être changer de métier et faire secrétaire comptable ou standardiste finalement, ce sera plus à ma portée. Faut pas se mettre la barre trop haut dans la vie, sinon on se fait plus mal quand on se casse la gueule.
 
Bon voilà, rassure toi les copines, celles qui assurent à tous les niveaux c'est rien que des menteuses.

vendredi 19 octobre 2012

truffe au réveil

les matins sont difficiles...
"Papaaaaaa! Ch'suis pas un miel-popopopop'!...."

vendredi 12 octobre 2012

je l'ai

Ils n'ont pas de téléphone portable (j'vous jure) mais Odile et Manou sont là, Odile et Manou savent dire "Oui oui, c'est bien pour un Elmo qu'il y a un avis de recherche en cours" alors voilà, je l'ai.
Et au passage j'ai découvert que sur ton blog, il y a une catégorie "pour Claire" rroooooohhhh, j'écrase ma larme d'émotion.
Celui là il est pour Linou.

jeudi 11 octobre 2012

a jeudi in the life

échantillon gratuit de ma vie quotidienne.

07:50 le réveil sonne, je pousse le bouton "répéter" pour grappiller 5 minutes. 2 fois.
Finalement je me lève pour allumer le four et réchauffer les pains au laits que j'ai préparés hier soir vers 22h avec mon tout nouveau livre de cuisine.
J'allume l'Ipad sur le jeu de simulation que j'ai téléchargé la semaine dernière et, en même temps que je m'habille, j'envoie mes petits personnages au travail pour la journée.
Je réveille mon Bilot et lui sors des vêtements propres, je sors de sa chambre en lui demandant de ne pas se rendormir.
Je me maquille le nez collé au miroir parce que sans mes lunettes je ne vois pas à 30 cm, je vais réveiller le Gazou pendant que l'Homme prend sa douche. 
Je fais semblant de ne pas voir le petit bonhomme caché derrière la porte de sa chambre et fouille sous la couette. Finalement il rit tellement que je ne peux plus faire semblant de ne pas l'entendre. 
Je l'habille avec le t-shirt jaune fluo que j'avais acheté à HongKong pour sa soeur il y a 5 ans car il ne veut rien mettre d'autre aujourd'hui. Je pense à Maëlle qui a hérité de la robe beatles.
Je me peigne pendant que les enfants descendent petit déjeuner avec leur Papa.
08:32, j'allume la bouilloire, je devrais déjà être dans la voiture. Je lace mes Converse pendant que le thé infuse.
08:40 avec un stock de bisous pour la journée et un pain au lait chaud, je mets le contact.
Je roule jusqu'à Toulouse en compagnie de P Cohen, mais je zappe sur le Mouv' régulièrement, quand l'invité du jour abuse de la langue de bois.
08:53 un bouchon sur la rocade dès la sortie du péage, ça s'annonce mal...
09:18 j'arrive au bureau bien en retard, il n'y a plus de place sur le parking et je me gare comme un cochon dinde.
J'ai 63 mails à écluser et une gentille pile de dossiers qui m'attendent depuis hier. Cette semaine j'ai décidé de prendre le temps de traiter les dossiers au lieu de surfer sur l'urgence. D'où les 63 mails...
Je pars en réunion pour des problèmes de qualité atterrants, et je me concentre pour retenir quelques infos pour plus tard. L'inconvénient de travailler depuis à peine un an dans une boîte où la moyenne d'ancienneté est de 8 ans, je suis toujours à la rame pour suivre de quoi les autres parlent... Les sujets sont parcourus, le plan d'action établi, je retourne à mon bureau. 72 mails.
J'en tombe quelques uns (chiffrages, questions logistiques, demandes d'avoir, dates de départ de containers, contrôles de factures, quelques signatures...), je m'attèle à un gros dossier, le téléphone sonne toutes les 12 minutes environ et à chaque fois je réalise une pirouette mentale pour essayer de basculer instantanément sur ce dont on me parle (avec plus ou moins de succès) car rares sont les interlocuteurs qui prennent la peine d'envisager que tu n'étais pas nécessairement précisément absorbée dans exactement les mêmes réflexions qu'eux à la seconde où ils t'ont appelée... mais je cultive le détachement et, d'une façon générale, je tâche de ne pas me laisser polluer par l'orgueil, ce qui me permet de répondre sans complexe "alors là je t'arrête tout de suite, je ne vois absolument pas de quoi tu me parles". Tant pis si j'ai l'air d'une quiche.
Je bois quelques cafés.
Finalement j'échoue dans mon ambition de ne pas traiter 3 sujets en même temps.
56 mails.
13:20 je file faire des courses chez Edouard, je dois trouver un cadeau pour une petite fille car Bilot est invitée à 2 anniversaires ce week end. Je me cache les yeux en traversant la librairie, pas le temps. Je prends des notes sur les nouveaux jeux de société en prévision de Noël.
Je remplis un demi caddie en courant à moitié car le frigo est honteusement vide à la maison, ça on peut dire qu'une belle aversion envers les grandes surfaces c'est un bon moyen de lutter contre le gaspillage... On ne fait les courses que quand il n'y a vraiment plus rien à manger. Et qu'on a fini le stock de pâtes, même quelquefois en mélangeant des fonds de paquets dépareillés.
14:15 déjà en retard, je renonce à passer au drive McD, il doit me rester un plat cuisiné dans le congélateur du bureau.
Je trouve une vraie place sur le parking.
14:24 je mets un porc au caramel Picard au micro ondes et jette un oeil à ma boîte mail : 63, retour à la case départ. J'attrape au vol l'informaticien qui passe dans le couloir (il ne vient qu'une demi journée par semaine) et nous avons un dialogue de sourds pendant quelques minutes. Je lui explique que ce n'est pas la peine qu'il me donne tous les détails, de toute façon je n'en comprends pas un mot. Néanmoins il résout mon problème, manifestement lui me comprend. 
Flo, ma moitié dédiée aux fournisseurs francophones, vient me chercher pour une réunion sur l'espace de stockage en chambre froide qui est saturé or nous devons recevoir 640 m2 de fibre de carbone bla bla bla... Bref, On trouve une solution.
15:37 je retrouve ma barquette de porc au caramel dans le micro onde, je la réchauffe.
Je reprends mes dossiers en cours fourchette à la main.
Mon tiroir vibre.
Je vais chercher un café. Je croise notre correspondant chinois et j'en profite pour lui coller un dossier sous le bras.
Je signe les réappros.
Je cours sur le parking en pleine averse pour fermer les fenêtres de la voiture.
Je  décide de réduire le nombre de mails non lus qui s'accumulent. 
J'ai un appel d'un commercial qui veut des informations sur des délais et qui voudrait aussi quelque chose qui n'est pas du tout possible. Je dis non. Il dit "c'était ta réponse?" Je dis oui. Il dit qu'on va devoir en reparler. Je dis d'accord. Le directeur commercial est dans mon bureau depuis 5 minutes avec son mug ferrari à la main, je raccroche et je lui explique qu'on va en reparler mais que ce sera quand même non. Il me parle d'un contrat avec un fournisseur américain pour la boîte à coucous, je sais bien quel est le problème j'y suis jusqu'au cou, d'un autre fournisseur américain qu'il a croisé à Düsseldorf et qui m'envoie son bonjour bien que je ne l'aie jamais vu, et des minima de prod de nos cousins italiens parce que bon mais quand même.
De fil en aiguille le temps passe. Tiens un mail de StGobain, je fais suivre la demande à notre responsable Qualité, mon tiroir vibre plus fort. Je pense tout d'un coup à mon nouveau Pomme-phone de bureau qui est dans ce tiroir, ah ben oui tiens, c'est lui qui vibre! Mon premier appel... C'est le responsable Qualité. Finalement il monte l'escalier pour venir me voir et m'expliquer comment on règle le son, et comment on enlève l'option vibreur, et comment on configure la boîte mail pour ne récupérer les messages qu'à la demande (ah tiens, encore 56 mails)... Je remets la bestiole dans sa boîte en carton en attendant de lui acheter une robe neuve.
18:36 je récupère mes courses dans le frigo et je quitte le parking toujours sur FrInter. Pas d'embouteillage sur la rocade.
19:02 Bilot m'ouvre la porte et me déleste d'un sac de courses, c'est une perle ce Bilot. Nous révisons les régions de France avec des "creillons de couler" pendant que l'asticot boude car on ne s'occupe pas de lui et il a trop faim. Pour le consoler, je lui demande de m'aider à râper les carottes. Le jeudi c'est le soir du pain frais du village, c'est donc un dîner tartines de beurre-carottes râpées. Oui, bon, au moins c'est rapide.
20:16 je fais couler le bain des poulets et je les trempe au court bouillon une petite demi-heure histoire de laver les cheveux pleins de la poussière orange de la cour de récréation.
Je frictionne le Pépère avec de l'huile prodigieuse additionnée d'huile essentielle de lavande parce qu'il est couvert de piqûres, probablement d'aoutats. Il cocotte. Je démêle la tignasse de la tigresse. 
L'Homme monte leur raconter l'histoire du soir pendant que je me lave dans leur bain encore chaud, c'est mon côté écolo: je me lave dans la crasse de mes enfants. 
Bilot choisit un livre de contes africains qu'elle affectionne bien que la moitié des histoires soit totalement incompréhensible. On se dit que ça développe son sens de l'absurde. Gazou veut qu'on lui lise les Trois brigands, mais d'abord il éjecte son père du lit parental pour que ce soit "Maman qui raconte". Bon, ça va, pas de commentaire sur l'oedipe, la symbolique et tout le tintouin, on est pas aveugles non plus... Bilot suit son papa par solidarité. Je lis les Trois brigands et j'expédie mon crapaud dans son lit. Je vais faire le bisou de bonne nuit à mon Bilot joli.
J'allume l'Ipad pour voir la météo de demain, je collecte le fruit du labeur de mes petits personnages et je les envoie tous faire des courses au supermarché. Sauf un, qui n'a pas l'option courses, celui là va jouer de la cornemuse jusqu'à demain.
21:34 je descends pondre un roman.
23:35 je vais me coucher, demain j'ai une journée pas très différente qui m'attend.

lundi 8 octobre 2012

so chic...


non, Bilot ne fait pas de foot, mais ça n'interdit pas de porter des chaussettes de foot qui montent jusque sous le genou quand il fait froid, et qui font assez bien paire de bas pour le Pépère...

dimanche 7 octobre 2012

orthographe?

 
La belle surprise du jour, ce sont les 2 trésors que j'ai trouvés au matin, côte à côte sur le canapé au chaud sous une polaire, sagement occupés à lire un album de spiderman.
J'avais bien entendu ma Bolette descendre l'escalier, mais je ne m'attendais pas à trouver son petit frère avec elle.
 
Par ce presque beau temps nous sommes venus à bout de nos volets: poncés, nettoyés, huilés pour toute la façade sud. Une bonne chose de faite et une corvée de moins sur la liste!
 
Et le Mum a tourné à plein régime pour préparer des pains briochés pour le petit déjeuner de lundi et des cookies pour la visite des nouveaux venus au village.
Cookies bicolores du dimanche:
Préchauffer le four à 180°C
Peser 250g de farine, mélanger avec un sachet de vanille en poudre et 1/2 cuiller à café de bicarbonate de sodium
Fouetter 100g de beurre en pommade avec 100g de sucre complet et un gros oeuf. Lorsque le mélange est homogène, ajouter progressivement le mélange de farine en continuant à fouetter.
Ca donne une pâte assez irrégulière, ajouter une poignée d'un mélange de noix concassées, de raisins secs et de cranberries séchées. Ajouter 2 bonnes cuillers à soupe de cacao maigre en poudre et finir de mélanger grossièrement.
Former des petites boules, disposer sur une plaque de cuisson, enfourner pour 8 à 10 minutes.
Laisser refroidir avant de croquer, sinon on se brûle la bouche. J'ai testé. 

 
Pains briochés sans sel:
J'ai renoncé au sel pour voir si ma pâte levait mieux. Effectivement la pâte a bien levé, est-ce du à l'absence de sel, je ne sais pas. De toute façon nous utilisons de moins en moins de sel et ça nous convient bien à tous les quatre.
Dans la cuve du robot mélanger 500g de farine pour brioche avec 1 dose pour 500g de levure de boulanger fraîche. Ajouter 60g de sucre en poudre.
Incorporer 4 oeufs battus puis, progressivement, 80g de beurre mou coupé en dés.
Arroser d'un trait d'eau de fleur d'oranger. J'ai ajouté une petite rasade d'eau de vie de cédrat pour l'odeur.
Pétrir pendant une dizaine de minutes. Si la pâte est trop sèche, ajouter un peu d'eau chaude tout doucement.
Laisser lever au moins 1 heure. Dégazer la pâte et confectionner des petites boules, disposer sur une plaque de cuisson.
Laisser lever à nouveau.
Préchauffer le four à 180°. Cuire 10 minutes. Se retenir de les manger jusqu'au petit déjeuner.
Et si le sel manque trop, tartiner de beurre salé.

samedi 6 octobre 2012

saveurs d'automne


Malgré des températures redevenues très douces, on sent bien que l'automne est là. On remet des chaussettes (enfin sauf l'Homme qui portera des tongs jusqu'en décembre), on a sorti les vestes de pluie, on épluche des pommes... et les citrouilles sont de retour!

J'ai aussi ressorti des archives une recette que nous cuisinions toutes les semaines quand Bilot était petite: le gratin de citrouille au parmesan.
Eplucher, laver et couper en gros cubes un gros morceau de citrouille (environ 500g)
Cuire dans une casserole d'eau et de lait jusqu'à ce que les morceaux soient tendres.
Préchauffer le four à 200°.
Bien égoutter les morceaux de courge en essayant d'éliminer un maximum de liquide, réduire en purée.
Dans un bol battre 2 oeufs avec 15cl de crème et 2 cuillers à soupe de maizena.
Mélanger à la purée de citrouille, saler, poivrer. Verser dans un plat à gratin.
Saupoudrer de fromage râpé, de chapelure et de parmesan gratugé.
Mettre au four environ 20 minutes, le temps de gratiner le dessus.